17/9 : Bungee Jumping

MERCREDI 17 SEPTEMBRE

 
J'avais prévu de venir en Nouvelle Zélande d'une part pour ces sites naturels extraordianires mais aussi pour ces sports extrêmes. Donc, il est temps pour moi d'attaquer par un saut à l'élastique au dessous de Harbour Bridge à Auckland. Je retrouve Diaz (mon informaticien brésilien) chez lui pour déposer mes bagages. Il a toujours voulu en faire mais n'a jamais eu l'occasion. C'est chose faite.
RDV à 13h30 au Maritime Museum pour que le van AJHackett Bungy pour se rendre sous le pont.
http://ajhackett.ibisnz.com/Reservation/Availability

Maël et Diaz : prêts pour le grand saut !

Une fois équipé, c'est parti pour 10 minutes de marche sous le pont pour atteindre une nacelle à 40 mètres au dessus de l'eau. La suite, c'est en vidéo par ici !

 http://youtu.be/rrI8hfQ3C34

PHOTOS DU SAUT A L'ELASTIQUE

 

 

Sports extrêmes en Nouvelle-Zélande : Saut à l'élastique = Check !

C'était génial mais un peu déçu de ne pas avoir eu la tête dans l'eau. Je ne l'ai senti qu'au bout des doigts !! Par contre Diaz a eu droit à la totale avec de l'eau jusqu'aux épaules ! Je suis jaloux... 

Anyway, it was great ! Surtout, on a une fenêtre météo parfaite durant le saut. Il a plu dix minutes avant puis dix minutes après avoir quitté le pont !

Ce soir, je fais du couchsurfing chez Anne, une quarantenaire très dynamique qui me propose de l'accompagner à son entraînement CИTEMA, un art martial russe de self defence. Le professeur est un ancien policier.

 Il nous propose donc dans un premier temps de se laisser tomber au sol de la manière la plus souple possible et se relever sans s'aider des mains. Par la suite, par binôme, on force l'autre à tomber puis on avance vers lui comme pour lui marcher dessus. La victime doit donc rapidement se déplacer et se relever...etc. Les exercices sont vraiment très intéressants mais je n'ai pas encore l'habitude de me laisser tomber sans me faire mal. J'ai donc quelques douleurs en quittant le cours.

Hey ! It is Wednesday, means Couchsurfing meeting ! Je me retrouve ce soir à expliquer pourquoi j'ai le nombre “67” écrit sur le poing. “Non, ce n'est pas le nombre de personnes que j'ai frappé avec ce poing !!!” Tout simplement, c'est mon poids que le responsible de mon saut doit connaître pour régler la longueur et la tension de l'élastique avant le saut. Cela vaut mieux !